Passage Préféré
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Passage Préféré
nous ne citerons ici que notre ou nos passages préférés, mettant les commentaires entre crochets [] ou entre parenthèses ().
PP Eve
en français page 515- 516, je vais pas tout recopier mais seulement mes parties préf. ceux qui veulent le voir peuvent donc relire ce passage ils ont la page! hihi
"je lui rendais son baiser avec une ardeur nouvelle pour moi
[...].
mes doigts raffermirent leur prise autour de ses cheveux pour l'attirer à moi cette fois.
il était partout. derrière mes paupières, le soleil rougeoya, couleur violente qui s'accordait à la chaleur de notre étreinte;
[...]
Jacob avait eu raison, depuis le debut. il était plus que mon ami. voila pourquoi il m'était impossible de lui dire aurevoir. je l'aimais aussi. je l'aimais d'amour. je l'aimais plus qu'ilo n'aurait fallu, mais d'un amour hélas insuffisant pour changer quoique ce soit, juste assez puisant pour nous blesser tout les deux.
[...]
nous ne faisons plus qu'un; sa douleur avait toujours été et serait toujours la mienne; à présent, son bonheur était le mien aussi. j'étais heureuse bien que son contentement soit teinté d'un chagrin presque tangible, qui m'irradiait la peau comme de l'acide, lente torture;
[...]
il se pencha pour m'embrasser derechef. A quoi bon lui resister? cette fois ce fut différent. ses mains se fient douces sur ma peau, et ses lèvres tendre sur les miennes et bizarrement hésitantes. ce fut un baiser très bref et extrêmement voluptueux. enroulant ses bras autour de moi, il me serra contre lui avant de chuchoter à mon oreille:
- voilà qui aurait du être notre premier baiser, mieux vaut tard que jamais.
mes larmes roulèrent sur son torse, la ou il ne pouvait les voir.
fin du passage...
"je lui rendais son baiser avec une ardeur nouvelle pour moi
[...].
mes doigts raffermirent leur prise autour de ses cheveux pour l'attirer à moi cette fois.
il était partout. derrière mes paupières, le soleil rougeoya, couleur violente qui s'accordait à la chaleur de notre étreinte;
[...]
Jacob avait eu raison, depuis le debut. il était plus que mon ami. voila pourquoi il m'était impossible de lui dire aurevoir. je l'aimais aussi. je l'aimais d'amour. je l'aimais plus qu'ilo n'aurait fallu, mais d'un amour hélas insuffisant pour changer quoique ce soit, juste assez puisant pour nous blesser tout les deux.
[...]
nous ne faisons plus qu'un; sa douleur avait toujours été et serait toujours la mienne; à présent, son bonheur était le mien aussi. j'étais heureuse bien que son contentement soit teinté d'un chagrin presque tangible, qui m'irradiait la peau comme de l'acide, lente torture;
[...]
il se pencha pour m'embrasser derechef. A quoi bon lui resister? cette fois ce fut différent. ses mains se fient douces sur ma peau, et ses lèvres tendre sur les miennes et bizarrement hésitantes. ce fut un baiser très bref et extrêmement voluptueux. enroulant ses bras autour de moi, il me serra contre lui avant de chuchoter à mon oreille:
- voilà qui aurait du être notre premier baiser, mieux vaut tard que jamais.
mes larmes roulèrent sur son torse, la ou il ne pouvait les voir.
fin du passage...
Re: Passage Préféré
baaaah, j'aime toujours pas le style d'écriture...
Decaydance- pitit narbre
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